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PHILIPPE PISSIER ARCHIVES (PPA)
16 juin 2007

20-11-2006.

Date: Mon, 20 Nov 2006 10:01:21 +0000 (GMT) From: *** Subject: za diana To: "pissier.philippe@paganguild.org" Chère Philippe, Hier j’ai passé la journée à lire les textes de Diana. C’est étrange parce que elle est toute visible, là dans ces textes. Et cela m’a fait étrange aussi parce que je peux situé le moment dont nous nous avons rencontrées avec elle par rapport du moment dont elle décrit et aussi parce que je connais des personnes qu’elle décrit. Il me fait aussi étrange le fait de comparer les dates et ce qu’elle a vécu en ces moments avec ce que je faisais au même temps. En fait hier je voulu décrire mes propres souvenirs avec Diana, mais je n’ai pas fait. Puis la nuit je fais un cauchemar avec elle et apparemment j’ai serré les dents si fort que je me suis réveillé avec une dent cassée ! Donc aujourd’hui je me suis dis : il faut que je le fiat. Je n’ai pas tout lu mais je ferais une pose. Tous cela est provoqué par ces Diaries. D’abor je me suis dis " pauvre enfant ". Puis je me suis dis " peut être elle a eu de la chance car aucune femme ne mérite de vieillir a feu lent 40enne- 50enne d’année ". J’ai rencontré Diana en mois de mai 1993 dans une gare berlinoise mais je ne me souvient plus la quelle. Marcus été venu me chercher et elle était avec lui. Quand je révise cette rencontre maintenant je peux dire que à l’époque j’était plus innocente qu’elle et donc plus forte. Plus innocente dans le sens que je ne savait pas encore comment fonction la systèmes occidentale et donc je ne me pliait pas a ses régler. Encore je vivais dans l’univers communiste ou l’argent n’avait aucune importance. Cet était d’esprit dans les longueurs géographique dit occidentaux était rare et ce faisait remarquer de loin. Autre habitude que j’avais à l’époque était de ne jamais comparée les être humains que je rencontre, femmes ou hommes, à moi-même. L’absence de comparaisons est un absence de compétition et donc absence de gagnant ou perdant. Je pense que à cause de tous cela j’ai gagné son respect. Car je ne peux pas dire qu’on avait des liens amicaux avec Diana. Je pense que nous nous respectâmes mutuellement. Finalement et pour ne rien manquer je peux dire que le touche finale de son attitude en vers moi était mis par l’homme avec le quelle je sortais en ce moment et qui se manifesté non sensible vers ces charmes. Diana n’a pas manqué de le tester. Je pense que ce que l’avait marquée était aussi l’absence complète de jalousie de ma part. Je peux dire que nous deux, mon ami et moi, nous étions un peu comme des spectateurs qui regarde les trics d’un magicien. Apparemment de ce moment là elle décida de me séduire. Je suis très dotée de confiance, donc très facile d’être gagne comme amie, mais il y avait quelque chose si non naturel et théâtrale dans son comportement, que chaque sentiment naturel échappait. Elle m’a consacré toute une journée et sa soirée. Elle me promena dans Berlin qui je ne connaissais pas trop. Elle m’amena dans un superbe parc au lilas. L’après-midi nous allâmes chez quelqu’un qu’elle connaît. Elle doit pendre un immeuble. Je lui aide. Nous finîmes vit. En partant l’homme au quelle appartenait l’immeuble lui donne 50 marcs. Une fois sorti elle me propose la moitié. Je refuse. Je lui simplement aidais. J’ai d’argent. Je n’ai pas besoin de plus. En fait en ce moment je ne comprend rien : je ne comprend pas pourquoi cet homme n’a pas peu pendre seul son meuble. C’était facile. Je ne comprends pas pourquoi Diana devait faire un travail que je trouve inutile. Je ne comprenais pas pourquoi elle devait prendre ces 50 marcs. J’étais très fière à l’époque et la petite grimasse de méprise apparu sur le visage d’homme en lui tenant les 50 marcs n’a pas pu m’échapper. Je ne l’a comprenais gère : nous étions logé chez Marcus, nous pourrions manger là bas. Si elle m’avait demandé 50 marcs, j’aurai pu lui filler. Je ne comprenais pas pourquoi on devait se gâcher la belle journée en allant à l’autre bout de la ville pour 50 marcs. J’ai rien dit. A cette époque je réfléchissais avec des intégralités et non pas avec des simples reflations comme celle-ci. En ce moment je pouvait tous simplement dire qu’elle ce comporte d’un manière certainement très diffèrent de la mien et quelque part non logique, non fonctionnelle, artificiel. Nous continuâmes la promenade. Il est nuit. Il fait beau. Elle continu dans son manière. Je me laisse guider. Nous ne prenons pas le métro, ni autre transport. Nous marchâmes à pieds. A moment donné nous nous retrouvons sur un passage à niveau du métro airain ou il manque un passage piéton. C’est dangereux, le train peut passer à chaque instant et si il passe nous avons nulle part à se poser. Elle me teste. A cette moment, avec mes 22 ans je n’était pas tous simplement brave et courageuse. A ce moment là je ne savais pas ce qu’était la peur. Donc je n’ai pas eu peur, mais encore une fois un tel comportement m’a paru non sensé et même comme une insulte par rapport au vrai courage. Pour moi le vrai courage devait se manifester dans des lutes pour des causes. Dans des gestes des principes etc. et non pas dans des actes infantiles et vides des idéaux. Mais je m’en foutais pas mal. Si elle veut jouer qu’elle joue, c’est son truc. Mois je n’ai pas peur mais j’aurais jamais choisir manifester mon courage en façon si facile , le passage par un chemin qui amen à nulle par, sombre, triste, laide et très peu excitant en soi car non sensé. Elle voit qu’elle ne m’impression pas, qu’elle ne m’a pas eu, elle voit que je me moque en peu d’elle, mais au même temps je la laisse faire donc comme pour une récompense elle m’amène aux balançoires. Oui aux balançoires, parce que et après tout nous sommes que deux filles à 21 et 22 ans ! C’était les balançoires les plus magnifiques que j’ai jamais vu ! Dans une cour intérieure couvert de sables, entre des très hauts immeubles, ils y sont deux balançoires d’une hauteur majestueuse. Avec des très petites sièges en bois et des chaînes métalliques très longues. C’est sur réel. C’est comme dans les Ailes de désire/Le ciel au dessus de Berlin. J’aime les balançoires et je pense souvent à ces balançoires là. Des années se sont passé mais à chaque fois dont je me balance aux balançoires et je fait cela à chaque fois que j’en vois, je panse aux balançoire des Diana. (Maintenant je me dis : elle m’a eu finalement. Elle m’a eu avec ces balançoires). Nous nous balançons pendant plus qu’une heur. D’abord nous rirons et nous papotons excitées, puis nous nous balançons dans le silence de nos pensées. Puis nous partons à la recherche de quelqu’un dans un club. Apparemment le club ne m’impressions pas, je ne me souviens que de l’entrée. Nous partîmes vits. Nous décidâmes de rentrer. Je me dirige vers le métro. Diana veut faire de l’auto-stop. J’ai fait l’auto-stop mais jamais en ville, ça me parait bizarre. Un porche s’arrête. (La première et la dernière dont je suis montée dans ma vie. Mais même maintenant 15 ans plus tard et quand je suis consciente que je n’ai jamais eu l’occasions de monter dans un porche à nouveau sa ne m’impressions pas. Je suis assé sincère d’avoué le fait, mais si je dis que cela me fais la pain je mentirais). Nous montons. Elle devant, mois derrière. Il m’est très désagréable. Je suis montée avec une cigarette allumée et une cannette de Coca-cola. A cause de ces vites démarrages et arrêts je ne peux approcher ni la cigarette ni la cannette à ma bouche. Les feux au centre ville ce suivent et j’ai l’impression que ma tête vas tomber de pression autour des ces stop et go qui ce suivent à chaque 10 second. Diana parle quelque chose en Allemand avec le chauffeur. Il e turc. Il nous invite au dîné. Elle me demande si j’était d’accorde. J’ai rien contre. Cela nous évitera de faire le bruit chez Marcus en rentrant. Nous sommes amené dans un restaurant turc. Nous mangeâmes des grandes salades et des grands morceaux de viande grillés. Elle boit du vin, je bois ma cannette non achevée. Elle amen la conversation. Je me sens non concernée. Nous décidâmes de partir. Le turc, toujours très galant nous propose à nous ramener. Elle refuse. On se dit au revoir. Je suis comme même surprise de ce déroulement. Je ne savais pas qu’on peut se procurer un dîné de cette façon là. Diana est très contente de soi. Elle a su à me surprendre. Ma fierté était grande et je fus en peu troublée par cette dîné gratuite, pas beaucoup mais en peu comme même. Pas beaucoup parce que en tous cas j’inscrivait tous ce qui c’est passé se jour là sur sa compte. Je peux guider moi aussi donc je sais comment me laisse guider et sur quelle compte se inscrivent les choses quand on a des situations pareilles. Diana aimait et connaissait Berlin, c’est elle qui guidait ce jour. Quand je guide je guide différemment. C’est vers une heur du matin et je me demande qu’est ce qu’elle pansait en déclinant la proposition qu’on nous amener à la maison. Un autre auto-stop bien sur. Le Mercedes argenté arrive de suite. Devant chez Marcus elle sourire au chauffeur. Le lendemain Marcus me réveil en m’angulant : pour qui je la fit entré à la maison avec moi. Diana. Je fus très surprise et très énervée, soudain je fus bien réveillé et je lui dis que ce n’est pas à moi de régler ces relations intimes. Elle ne revint plus dans la maison de Marcus. Je la revoir encore une fois dans le cours d’une cérémonie et une réunion au temple. Elle est là. " Unlike us " ne porte pas une robe mais elle est torse nu avec un espèce d’écharpe bleue attaché comme une jupe. Cette soir là mais amis Bulgares était arrivés et je n’ai pas discuté avec elle. Je ne la plus revu. En pensent maintenant à elle, après des années, il me semble qu’elle avait un fort besoin d’attention et aucun besoin de la France. En connaissant la France aussi, je peux dire que la France la pratiquement abîmée, détruit. Nous, les nées ailleurs nous sommes à jamais brisé par le contacte avec cette entité spécifique qui est la France. C’est un réversible. C’est fatal. IVA
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